cigarette

Me promenant sur le web, je me retrouve subitement et sans raisons apparentes sur la page Wikipédia du Polonium.
Je savais que c'est un poison extrêmement violent (de part sa radioactivité très importante aussi), Wiki donne des chiffres :

Absorbé dans les tissus, il provoque des dommages directs par émission de particules alpha. L'absorption de 1 à 10 microgrammes est suffisante pour provoquer la mort.

Quelques microgrammes sont mortels. Ok : wtf.
Mais il y a le paragraphe d'après qui est assez scandaleux « Présence dans le tabac » :

À la suite de la découverte du polonium dans la fumée de cigarettes […] les grands fabricants américains se sont penchés sur des méthodes susceptibles de réduire les quantités présentes […].
En dépit de résultats internes favorables indiquant que la présence de polonium était deux à trois fois inférieure aux premières estimations, la décision fut prise de ne pas publier cette information, le risque en termes de relations publiques et de procès étant perçu comme très supérieur aux bénéfices d'une telle annonce.
En outre, les diverses tentatives menées par les compagnies pour diminuer la présence du polonium dans les plants se révélaient insatisfaisantes.
Communiquer sur ce sujet risquait, selon ces responsables, de "réveiller un géant endormi" en générant une nouvelle controverse […]

Oh, je sais bien qu'il y a des trucs pas nets dans ce qu'on mange, mais de là à nous mentir, je n'accepte pas. D'où mon article ici : le tabac contient certaines saloperies et dans des proportions que les industriels ne veulent pas vous communiquer, de peur de perdre de l'argent.

Et bah c'est pas de chance pour ces industriels, car je suis passé par là, et j'ai une gueule que j'aime bien ouvrir.

MAJ du 01/02/2012 : concernant la toxicité radiative, c'est là, dans mon commentaire. La dose reçue par un fumeur (1 paquet/jour) atteint 300 fois la dose légale autorisée en France.

image de eMotionblogster Karolien Taverniers

old-phone

C'est marrant : depuis que Free est arrivé sur le marché de la téléphonie mobile, ses concurrents (le « cartel ») sont en panique totale.

Voici une liste de liens qui me donnent bien envie de sortir les pop-corns encore une fois :

Mais à part ça « Free ne nous fait pas peur® » :D.
Hahaha !
Noooooooooooooooon, on voit ça.

C'est bien Free. Il est temps que ce bordel cesse entre les opérateurs.

image de Stéfan

sark0
Je sais que la gratuité des musées et monuments de l'État pour les jeunes de 18 à 25 ans et pour les enseignants a fait polémique. Je le sais. Et d'ailleurs, il n'y avait pas que des arguments absurdes. Est-ce que l'on respecte ce qui est gratuit ? Non ! » (…) « Cette gratuité n'enlève aucune recette au musée, elle élargit votre public »

Qui c'est qui dit ça ? En remplaçant « musées et monuments » par « musique et films » : ce sont presque les mots de tous les anti-Hadopi, libristes, etc. sur le fait que la gratuité permettait très facilement pour des futurs clients de découvrir des artistes.
Mais visiter un musée, ça reste de la culture, comme la musique ou le cinéma.

En fait, ces belles paroles sont celles de Nicolas Sarkozy, lors de discours de vœux.

C'est quoi ce délire ?
Ce sont qui qui disaient que les plateformes de téléchargement / streaming gratuits étaient les principaux vecteurs de découverte de la culture (nouveaux artistes, nouvelles séries TV, etc.) ? Qu'il s'agit ni plus ni moins de publicité gratuite ? Qui sont ceux qui ont dit ça ?
Nous. Nous, les internautes, la Quadrature du Net, et tous les autres anti-Hadopi. Pas l'UMP. Pas Sarko.

Et qui disait au contraire que « la culture gratuite est du vol » (autant pour la musique, que pour les images) ? Que les internautes sont des voleurs ne voulant pas payer ? Ce sont eux, la Hadopi, Sarko et tout le reste.

Mais de qui se fout-on dans ce pays ?

(via PCinpact, où les autres extraits intéressants me hérissent le poil)

image de Gueоrgui

store

Un des points communs d'iOS et des distributions GNU/Linux est la gestion des logiciels à installer : on passe par un gestionnaire de paquet. En général ça se passe ainsi : on ouvre le bouzin, un catalogue des logiciels disponibles s'affiche, on coche les cases de tout ce qu'on veut installe et on clic sur « installer ». C'est très pratique et très sûr (quand les choses sont bien faites).

Là où ça coince pour moi, c'est que maintenant les éditeurs d'OS les utilisent partout. Microsoft veut aussi utiliser un store comme ça pour les futurs Windows, OS-X possède déjà un truc similaire, ChromeOS n'en parlons même pas… Ok, ça va simplifier la vie de tout le monde, mais il y a aussi pas mal de problèmes.
Des problèmes pour nous, utilisateurs, les derniers pris en compte par les éditeurs.

Premièrement je vois déjà comment ça va se passer avec Windows : vous cherchez, admettons, un navigateur. Oh, IE est en premier ! On cherche une suite bureautique ? Oh, Microsoft Office à $300 est en premier ! Ha. Ha.
Ou alors, ça sera classé par des notations d'utilisateurs et on j'imagine déjà Microsoft faire des campagnes pour payer les gens pour voter leurs produits : ils ont bien payé des utilisateurs pour télécharger IE8 ou pour utiliser leur moteur de recherche…

Second point : ces systèmes fermés et gérés par des entreprises privées qui sont seules maîtres sur les contenus auxquels on a accès. Sur l'App-Store d'Apple, il faut payer pour proposer un logiciel. Et on est même pas sûr qu'il sera validé : si Apple vous dit non, c'est non.
Les utilisateurs n'ont droit uniquement à ce qui a été déclaré comme « apte ». Je vois bien la même chose partout dans le futur.

Troisième point : pour installer un logiciel il n'y aura pas d'autres solutions que de passer par ces systèmes d'app store. C'est déjà le cas sur iOS : il est obligatoire de passer par l'App-Store d'Apple. Je crois que sur Androïd on peut installer un logiciel manuellement (qu'on me corrige). Évidemment c'est le cas sous GNU/Linux et sous Windows aussi (à l'heure actuelle). Mais est-ce que ça va encore rester longtemps ? Quand on voit comment Apple est à l'avance dans le domaine des restrictions sur l'usage de ses produits, peut-être qu'à terme OS-X aura la même chose. Et si Apple peut le faire, Microsoft le peut aussi et le fera sûrement.

Enfin, quatrième point : la vie privée. On imagine que si tout passe par des serveurs non transparents pour installer un logiciel sur son ordinateur, les serveurs vont récolter tout un tas de données sur l'utilisateur. Je suppose qu'il faudra un compte utilisateur pour pouvoir télécharger sur ces plates-formes et donc ils sauront ce qu'on télécharge et installe… De plus, comme c'est déjà le cas sur iTunes (peut-être Android aussi) qu'il y aura un système de zonage (suivant son pays, on n'aura pas les mêmes choix de logiciels) et des restrictions en fonction de l'âge de l'utilisateur.

On a donc quelques problèmes liés à l'imposition de ce genre de « app-store » sur tous les systèmes :

  • Non neutralité des choix de logiciels ;
  • Restriction des choix de logiciels ;
  • Impossible d'installer un logiciel non officiellement approuvé par l'éditeur de notre OS ;
  • Vie privée, fichage, profilage.

On va me dire « hé, mais alors pourquoi tu utilises ce système de dépôts sous Linux alors ? ». Oui. Mais Sous GNU/Linux ces points-là sont tombés : les listes de logiciels ne sont pas figées : l'utilisateur peut choisir les catalogues dans lesquels il veut faire une recherche pour un logiciel. Chacun peut même créer son logiciel et le proposer ensuite dans un dépôt, et même ouvrir son propre dépôt et le proposer à tout le monde.
GNU/Linux étant un OS libre, il ne sera jamais impossible d'installer un logiciel autrement que par la voie « officielle » de l'éditeur. Il est actuellement possible d'installer un logiciel sans passer par les dépôts et ça sera toujours le cas.
Concernant la vie privée, les données ne sont pas récoltées : il y a la possibilité de participer à des statistiques d'utilisation des paquets, mais c'est facultatif et désactivé par défaut.

Tout pour dire que oui, j'approuve l'idée d'utiliser un système de dépôts dans les différents OS : c'est simple, pratique et relativement sûr, mais c'est sur la façon de faire des éditeurs comme Apple ou Microsoft que j'émets un gros doute : l'un nous a déjà pondu un gros bazar fermé, censuré à l'image de tout le reste, et l'autre a suivi la même voie à chaque fois.
J'imagine mal comment ça sera dans quelques années : quand les OS seront aussi fermés est restrictifs que les téléphones actuellement…

image de Warumnichtgeldflusseinrichten

fbi

Le FBI a fermé MegaUpload, un site utilisé par des millions de personnes.
Mais c'est pas sûr ça que je veux parler.

Megaupload est juridiquement basé à Hong-Kong, ainsi que les serveurs, mais ce sont les USA et le FBI qui le ferment : y'a pas comme un soucis ? De quel droit font-ils ça ? Contre la violation de droits d'auteurs ?
Alors imaginez ce qu'ils auraient pu faire si Sopa/Pipa étaient adoptés…

Là où je veux en venir, c'est aussi à ces commentaires que j'ai eu concernant le black-out de l'autre jour « mettre un site français en black-out, ça sert à rien, car Sopa/Pipa sont des lois américaines ».

Non.
L'internet du monde entier est menacé par une loi d'un seul pays. Les États-Unis contrôlent les services DNS de la majorité des sites du monde (tous ceux en .com/.net/.org/.us…), et ce sont eux qui ont la main sur les serveurs DNS racines, et la loi PIPA vise justement de s'attaquer au DNS d'un site qu'ils veulent fermer.
Là est le problème : c'est pas parce que les USA ont une frontière qu'ils l'appliquent sur Internet : ils font ce qu'ils veulent, vu qu'ils contrôlent tout.

Quant à une loi d'un autre pays, c'est la même chose : on l'a vu avec Hadopi en France : peu après, ce sont plusieurs pays qui sont venus avec leurs « Hadopi » à eux (Belgique, Irlande, UK, USA…).

image de Travelin' Librarian

wifi

Ok, promis je vais cesser les jeux de mots foireux avec Orange…

La news est en fait qu'Orange démarre enfin son réseau WiFi communautaire avec des HotSpot. Ce système existant déjà depuis des années avec SFR, Bouygues et Free et permet à un abonné de se connecter sur tous les réseaux Wifi partout en France, en utilisant un système d'identifiant et mot de passe.

Dans l'absolu, c'est un système carrément génial : d'où que l'on se trouve de nos jours, il y a le WiFi et donc avec un abonnement internet, on peut se connecter partout. En échange, les autres peuvent accéder à internet en utilisant votre point d'accès. Je suis totalement pour un système comme ça.
Dans la pratique : je constate que leur façon de faire est un flop total. Pourquoi ? Parce que si vous êtes client SFR, vous ne pouvez que vous connecter sur les hotspot SFR. Client Free ? Seulement sur les réseaux Free.
Pourquoi ? Pourquoi ils ne se mettent pas d'accord pour un système unifié ? Ça serait pourtant un gros plus pour les internautes.
Toute la technologie est là pour faciliter encore plus l'accès à l'internet pour tous, et elle marche très bien ; ce sont juste quelques entreprises qui font leurs difficiles. Mouarf.

Certaines gares SNCF disposent d'un réseau WiFi aussi : SFR Wifi Gares. Là, tout le monde peut se connecter : il suffit de choisir chez qui on est et on est redirigé vers la page spécifique de son FAI. Voilà, c'est un système comme ça qu'il faudrait partout !

Et tant que j'y suis : je réitère mon coup de gueule contre les réseaux des restaurants, hôtels, etc. qui nous demandent tout notre dossier administratif pour pouvoir surfer.

Il y a aussi une bonne discussion sur le forum de Korben, notamment à propos du réseau mondial Eduroam.

image de The Next Web

Ce site est actuellement désactivé en signe de protestation contre la loi américaine SOPA. Il sera à nouveau disponible dans quelques heures, merci de votre compréhension.

Pour comprendre pourquoi SOPA est dangereux pour tous, lisez les articles suivant de Framasoft
« D’un côté l’État, de l’autre le citoyen. Champ de bataille : Internet. Enjeu principal : la liberté. »


Joignez-nous : SopaStrike.

(texte original)

privacy

Lorsque vous visitez une page web, le navigateur envoie des informations au serveur. C'est tout à fait normal. Mais parmi ces informations se trouve le « referer ». Il contient l'adresse de la page visitée juste avant.
Cette donnée est utilisée par les sites web pour voir d'où proviennent les visiteurs et possède quelques autres applications pratiques.

Mais depuis que les plugins Google (Adsense, analytics…) et autres boutons Facebook (j'aime, partager, etc.) sont un peu partout, il leur est possible de déterminer pratiquement l'ensemble des sites que vous visitez, même si le site ne possède pas de plugin externe (comme c'est le cas ici au passage) : il suffit qu'au fil de votre surf, un site sur deux contienne un script externe (sachant que 80% des sites ont des morceaux de Google dedans, miam).

Certains navigateurs permettent de désactiver l'envoi du referer au site que vous visitez :
  • Pour Opera : Ctrl F12 > onglet « Avancé » > ligne « réseau » > décochez la case « Informer de quel site vous venez ».
  • Pour Firefox : Dans la barre d'adresse, tapez « about:config », puis recherchez la clé « network.http.sendRefererHeader ». Si elle n'existe pas, créez-la (type : integer). Donnez-lui la valeur « 0 » (zéro).

(je n'ai rien trouvé pour IE, Safari et Chromium)

Voilà. Ce n'est pas grand-chose, mais c'est juste un petit plus pour conserver un peu sa vie privée. Ce n'est pas suffisant comme moyen mais à mon avis ça fait partie de toute la panoplie de hacks et autres trucs à faire pour rester libre (Adblock, Ghostery, bloquer les cookies externes, …).
Et tant pis pour les sites qui utilisent justement le referer pour leurs stats : ranafoutre.

Notez juste que certains sites peuvent ne pas fonctionner : par exemple quelques sites de téléchargement : ils utilisent le referer et le comparent à leur propre nom de site, évitant ainsi qu'on puisse faire des liens directs. Mais c'est quand même rare.

image de Opensourceway

francs

Dites, vous vous souvenez quand les pièces de 5, 10 et 20 centimes étaient jaunes ? Quand les pièces de 1/2, 1, 2 et 5 francs étaient grises ? Et qu'on avait les jolies pièces de 10 et 20 francs (avec le mont Saint Michel) ?

Ben c'était il y a 10 ans.

J'ai encore quelques pièces de chaque sorte (à l'époque je les collectionnais, et maintenant je les garde pour la nostalgie) : j'avais la moitié de mon âge actuel à cette époque mais je me souviens très bien…

C'est marrant, les pièces d'euro sont bien moches et ternes à côté des vieux francs.
Et les billets aussi, avec les personnages français célèbres : Saint-Exupéry, Cézanne, Eiffel et les Curie. Autant de domaines différents (la littérature et la géographie, l'art, l'ingénierie, la science) alors que maintenant les billets d'euro on voit quoi : des ponts. Mouarf.

C'est d'ailleurs la même chose pour les florins néerlandais : je trouve les anciennes pièces et les vieux billets bien plus décorés et jolis… Vous trouvez pas ? Les billets d'euro sont ternes et monochromes à côté…

Enfin bon, c'était juste pour la nostalgie que j'avais envie de vous faire remarquer que ça fait une décennie que l'on utilise l'euro en France et un peu partout en Europe.

html-can-not-do-that

C'est quoi « contenteditable » ? C'est un attribut HTML, comme le « href » (dans les liens) ou le « src », « alt » dans les images.

Cet attribut permet de rendre le contenu éditable par l'utilisateur. Ce n'est pas un formulaire, donc les données ne sont pas transmissibles au serveur, mais un <div> avec cet attribut pourra par exemple être édité dans le navigateur.

À quoi ça peut bien servir ?
Je sais pas trop à quoi ça sert « officiellement ». Pour le moment, j'y ai trouvé deux usages :

L’orthographe

On ne le dirait pas, mais je vérifie quand même mes pages au correcteur orthographique intégré dans mon éditeur de texte. Malheureusement, trouver les fautes dans du code HTML brut c'est bien moins facile que dans la page web finale (à cause des éléments de code qui sont eux-mêmes soulignés par le correcteur).
Ce que je fais maintenant : je place l'attribut « contenteditable » sur le body de la page (temporairement). Vu que le contenu est éditable, les mots inconnus sont soulignés par le correcteur de mon navigateur (comme dans les formulaires).

exemple-orthographe

Magnifique non ? Ensuite, il faut corriger dans le fichier source (pas la page) et ça ne fait toujours que l'orthographe (pas la grammaire), mais c'est plus pratique…

Intégrer un éditeur CSS dans la page

En HTML5, on peut placer un <style> en plein milieu du code (plus uniquement dans l'entête). On peut aussi afficher ce <style> comme une boîte, et on peut aussi le rendre éditable.
Or, comme il s'agit toujours d'un élément <style>, le texte (du CSS) qui s'y trouve est pris en compte par le navigateur. En modifiant son contenu, on peut donc coder du CSS directement dans la page, et le voir s'appliquer en direct.
Plus besoin de taper du code, de changer de fenêtre, de recharger la page, de revenir à l'éditeur CSS et ainsi de suite !

C'est tout simplement fabuleux (attention toutefois : le code que vous tapez n'est pas enregistré : il ne faut pas oublier de le copier-coller dans le vrai fichier CSS ensuite).

En prime je vous donne un exemple :
Ceci sera le code qui sera stylisé par le CSS qui se trouve ci-dessous, car il porte d'ID « #ceci-est-editable »
Le bloc noir ci-dessous est éditable : allez-y ! Ajoutez tout le CSS que vous voulez, même pour tout le reste de la page : #entete (mon entête) ou #post (pour un article par exemple). Si vous faites une connerie, rien n'est conservé et il suffit de rafraîchir la page.
Si vous ne connaissez pas le CSS, vous pouvez essayer de changer le « white » en « red » ou « yellow » pour changer la couleur du texte en rouge puis en jaune :

Pourquoi ça va m'aider ce truc ?
Parce qu'avec un attribut HTML5 et quelques lignes de CSS, je transforme mon navigateur en éditeur WYSIWYG qui applique les changements en temps réel, sans requêtes serveur pour rafraîchir la page, c'est bien plus rapide !

Plus besoin de 3 tonnes de AJAX gourmand en ressources serveur et client ainsi qu'en bande passante : une seule ligne de JS suffirait si l'on veut sauver le code (copier le code tapé dans un formulaire, et envoyer le formulaire).

image (qui va très bien avec l'article pour une fois) de Noah Sussman

J'aime bien ce blog : Ballajack, on y trouve pas mal d'infos sympa. Mais parfois, et c'est pas le seul du tout, je ne comprends pas comment on peut appeler ce genre de choses « un thème pour Windows 7 ».

o_O

D'après les captures d'écran, il n'y a que le fond d'écran qui change, avec quelques icônes (poste de travail, corbeille…) et les sons systèmes apparemment…
C'est ça « un thème » de bureau sous Windows ? C'est très pauvre alors…
Il me semblait que même sous Windows XP on pouvait modifier bien plus de choses, au pire en passant par l'artillerie lourde, mais on pouvait modifier plus qu'un simple fond d'écran…

Je sais pas si c'est mon habitude sous Gnome GNU/Linux, mais un thème, ça doit tout changer : exemple avec les excellents (et RIP) thèmes pour Gnome 2 : les thèmes Bisigi.
Tout change :
  • fond d'écran
  • toutes les icônes
  • les polices d'écran
  • l'écran de connexion
  • la forme et la couleur des boutons, menus, boites de dialogues

(tout ça en un clic)

Et sans oublier qu'on peut là aussi tout modifier à la main, et en pensant aussi aux innombrables environnements de bureau : KDE, Gnome
C'est simple : il n'y a pas deux bureaux sous GNU/Linux qui se ressemblent (oui, on peut combiner le set d'icônes d'un pack avec les bordures de fenêtres d'un autre).

Quand Jobs disait que Windows n'avait aucun goût, c'est bien vrai (après, OS-X je pense pas que ce soit mieux niveau personnalisation, mais je sais pas). Sous GNU/Linux, tout est changeable, et pas besoin de passer par des trucs compliqués : on a vraiment le truc qui nous va : celui où chaque bouton est là où on l'attend et où on arrive à le retrouver. (et je n'ai même pas goûté à la custo en CSS3 sous Gnome 3 !)

Tout ça pour dire que je trouve Windows bien pauvre au niveau customisation de l'interface… Je ne vais presque jamais sous Windows, mais je trouve assez chiant de ne pas pouvoir changer mon bureau comme je le souhaite (la force de l'habitude sous GNU/Linux sans doute).

newyear

Yeah, et une révolution de plus pour notre planète autour de l'étoile la plus proche !

Que dire qui n'a pas encore été dit ailleurs ? Boîte à légumes ? Marguerite ? Saxophone ? Nan, c'est plus convenable de dire bonne année 2012 !
Comme tous les ans, cette année aura ses surprises et ses épreuves, mais j'espère qu'elle sera riche en réussite pour tous autant que vous êtes !

Pour ce qui est du site, ça devrait aller : je continuerai comme toujours et, je l'espère, pour longtemps. J'ai quelques projets et pas mal de trucs en travaux aussi mais tout ça c'est surprise, et ça viendra le moment venu…

Pour l'instant, et je pense que ça vous plaira, le changement le plus visible devrait être l'orthographe dans les articles (mon orthographe était l'un des points faibles le plus souvent remarqué) !
Non, je ne me suis pas subitement amélioré (ouais, je sais : c'est dommage, mais je compte faire plus attention) : c'est l'équipe d'Orthographe Pro qui s'est proposée pour corriger gracieusement les fautes dans mes billets, et qui rejoint ainsi la liste des sites partenaires et recommandés. Ils ont déjà corrigé pas mal de fautes et ont été très réactifs jusqu'à présent (réponse dans les heures qui suivent la mise en ligne d'un article), alors que leur site indique normalement un délai de 72 h pour la correction. Vraiment, un grand merci à vous !

Et merci aussi à tout le monde, vous tous, qui m'avez supporté ici durant 2011 (certains aussi depuis 2010, et même avant), et vous êtes toujours plus nombreux. Si un jour j'avais pensé que mon avis et mes critiques sur le monde allaient intéresser tant de monde, je ne l'aurais sûrement pas cru…

image de Glenn Waters